Il était une fois un simple citoyen, vulnérable, qui perdit une partie de sa propriété et de sa maison qu’il habitait depuis son enfance.
En France le droit de propriété est très protégé … par les lois.
Un acte authentique précisait qu’il était le propriétaire.
Comme il n’a jamais vendu ni cédé, il reste propriétaire dirait la loi.
Pourtant, pour permettre une promotion immobilière, des promoteurs peu scrupuleux et des faux en écritures publiques commis par un notaire ont suffi à lui faire perdre ses droits et donc une partie de sa maison et le droit d’accès à sa maison.
C’est un crime, dit le code pénal.
Il pensait pouvoir faire confiance au notaire, aux gendarmes, aux géomètres-experts, aux magistrats, à la justice et à l’État pour récupérer ses biens, ses droits.
De désillusions en désillusions, du grotesque à l’absurde, de l’incohérence aux mensonges, de la lâcheté à la complicité de crime, les représentants de la loi, du maire au ministre, en passant par des officiers de gendarmerie et bien sûr les magistrats, du civil au pénal, du siège et du parquet, du TGI à la cour de cassation, s’emploieront à violer les lois pour permettre la violation des Droits de l’Homme, assurer l’impunité aux voleurs et ainsi leur permettre de conserver les droits volés.
CELA PEUT VOUS ARRIVER, des milliers de victimes en France.
Les mêmes procédés et mêmes »manquements » de représentants de l’État, de l’ordre public,
Cette histoire, ces procédés vous sont contés sur ce site, dans ces vidéos et articles.
Le crime parfait !
Elle vous est aussi racontée dans le livre
Résister pour espérer la justice